Bernadette Delrieu a vécu son enfance dans un village d’Ile-de-France, ou les champs, l’horticulture et la forêt étaient très présents. Les expériences sensibles avec l’espace et la nature vont marquer toute son œuvre. Adolescente, elle part seule en Allemagne et y reste près de 10 ans.
Elle étudie la peinture et l'art mural à Nuremberg, Berlin et Munich. De retour en France elle passe le diplôme à l’ENSAD, en art mural, et sa licence es lettre à la Sorbonne. En 1975, elle obtient une bourse du conseil des Arts du Canada. Elle voyage pendant des mois à travers le continent canadien et américain jusqu’au Mexique,Guatemala et Honduras britannique.
Début 1977, de retour en France, travaille pour des décors de théâtre, et crée une école privée pour la préparation aux grandes écoles d’art. En 1983, elle est nommée professeur polyvalent en arts plastiques à l’école des beaux-arts de Cambrai. Dés 1970, expose régulièrement en France et à l’étranger.
Les rapports de l’homme au monde est ce qui hante l’œuvre de Bernadette Delrieu.
Le paysage est privilégié non pas parce qu’il offre des réponses toutes faites mais parce qu’il pose le plus grand nombre de questions. En ce sens, ce n’est pas le paysage stricto sensu qui intéresse Bernadette Delrieu mais ce qu’elle appelle l’au-delà du paysage, une interrogation quasi-philosophique sur notre être-au-monde. Extrait d'un texte de Christian Limousin.
Elle étudie la peinture et l'art mural à Nuremberg, Berlin et Munich. De retour en France elle passe le diplôme à l’ENSAD, en art mural, et sa licence es lettre à la Sorbonne. En 1975, elle obtient une bourse du conseil des Arts du Canada. Elle voyage pendant des mois à travers le continent canadien et américain jusqu’au Mexique,Guatemala et Honduras britannique.
Début 1977, de retour en France, travaille pour des décors de théâtre, et crée une école privée pour la préparation aux grandes écoles d’art. En 1983, elle est nommée professeur polyvalent en arts plastiques à l’école des beaux-arts de Cambrai. Dés 1970, expose régulièrement en France et à l’étranger.
Les rapports de l’homme au monde est ce qui hante l’œuvre de Bernadette Delrieu.
Le paysage est privilégié non pas parce qu’il offre des réponses toutes faites mais parce qu’il pose le plus grand nombre de questions. En ce sens, ce n’est pas le paysage stricto sensu qui intéresse Bernadette Delrieu mais ce qu’elle appelle l’au-delà du paysage, une interrogation quasi-philosophique sur notre être-au-monde. Extrait d'un texte de Christian Limousin.